Pour naviguer un peu partout sur le net je constate qu’au fil des échanges remontent de nos mémoires certaines références.
Hier c’était De Gaulle,
avant hier Bakounine
et aujourd’hui les Hussards noirs.
Volontairement je limite la liste des noms venus du passé à ces trois là.
Il est toujours tentant de s’appuyer sur les idées et/ou sur les hommes du passé pour conforter les nôtres qui, aujourd'hui, sont à la recherche d'un support concret. Oui c’est tentant, tentant au point de vouloir raccrocher ses idées pour demain à des lunes qui, elles, ne sont pas nouvelles.
Alors faut-il rejeter ses références au nom de la modernité ?
Il semble qu'au contraire le bayrouiste a tendance à les analyser sans complaisance et sans fard dans un premier temps afin dans un deuxième temps de proposer et d’argumenter. Malgré tout il convient de se demander pourquoi reviennent-elles aujourd’hui !
Le Général de Gaulle et le gaullisme ?
Des échanges lus ailleurs ont apporté des éléments de réponse, De gaulle c’est les institutions, l’intégrité, le sens de l’intérêt général, le rassemblement.
Bakounine ?
C’est la liberté et tout ce qui est exprimé dans cette citation parmi d'autres lues sur le net
Je suis un amant fanatique de la liberté, la considérant comme l’unique milieu au sein duquel puissent se développer et grandir l’intelligence, la dignité et le bonheur des êtres humains ; non de cette liberté toute formelle, octroyée, mesurée et réglementée par l’état, mensonge éternel qui en réalité ne représente jamais rien que le privilège de quelques-uns fondé sur l’esclavage de tout le monde
Les hussards noirs ?
D’autres, ici ou là bas, mieux que moi, pourraient en parler,
mais les Hussards noirs c’est la République, l' accès à la connaissance pour tous, l’école laïque, la tolérance.
Comme quoi le réveil de ces références n’est pas si anodin qu'il n'y paraît.
L’argumentation des uns et des autres, sur tous les forums se fonde sur une expérience personnelle, professionnelle, réfléchie.
Lou Bayrou a su réveiller les consciences et du coup, ici, là bas ou ailleurs nous exprimons avec force, et parfois impatience, nos réponses ciselées au réalisme du terrain, réponses bien éloignées de l’état d’âme ou de l’opinion idéologique de certains(es), apportant cette humanité qui caractérise les "vrais gens".
Mais derrière tout cela, n’y a-t-il pas la nostalgie de ces époques passées qu’ont marqué ces hommes et ces idées pour ce qu'elles suscitaient, dans l’acceptation ou le refus :
L’expression d’une conscience collective ?
Nous voilà confrontés à la réalité d’un demain où, en prenant nos responsabilités, nous serons acteurs d’un humanisme pragmatique dont les piliers seront à nouveau l’Homme et la Terre.
L’Homme et la Terre... Elisée Reclus :
Les édiles d'une cité fussent-ils sans exception des hommes d'un goût parfait, chaque restauration ou reconstruction d'édifice se fît-elle d'une manière irréprochable, toutes nos villes n'en offriraient pas moins le pénible et fatal contraste du luxe et de la misère, conséquence nécessaire de l'inégalité, de l'hostilité qui séparent en deux le corps social.
Comme quoi,
il n’y a ni hasard,
ni ancien ni moderne,
seulement la vie, dans son éternel recommencement...
Hier c’était De Gaulle,
avant hier Bakounine
et aujourd’hui les Hussards noirs.
Volontairement je limite la liste des noms venus du passé à ces trois là.
Il est toujours tentant de s’appuyer sur les idées et/ou sur les hommes du passé pour conforter les nôtres qui, aujourd'hui, sont à la recherche d'un support concret. Oui c’est tentant, tentant au point de vouloir raccrocher ses idées pour demain à des lunes qui, elles, ne sont pas nouvelles.
Alors faut-il rejeter ses références au nom de la modernité ?
Il semble qu'au contraire le bayrouiste a tendance à les analyser sans complaisance et sans fard dans un premier temps afin dans un deuxième temps de proposer et d’argumenter. Malgré tout il convient de se demander pourquoi reviennent-elles aujourd’hui !
Le Général de Gaulle et le gaullisme ?
Des échanges lus ailleurs ont apporté des éléments de réponse, De gaulle c’est les institutions, l’intégrité, le sens de l’intérêt général, le rassemblement.
Bakounine ?
C’est la liberté et tout ce qui est exprimé dans cette citation parmi d'autres lues sur le net
Je suis un amant fanatique de la liberté, la considérant comme l’unique milieu au sein duquel puissent se développer et grandir l’intelligence, la dignité et le bonheur des êtres humains ; non de cette liberté toute formelle, octroyée, mesurée et réglementée par l’état, mensonge éternel qui en réalité ne représente jamais rien que le privilège de quelques-uns fondé sur l’esclavage de tout le monde
Les hussards noirs ?
D’autres, ici ou là bas, mieux que moi, pourraient en parler,
mais les Hussards noirs c’est la République, l' accès à la connaissance pour tous, l’école laïque, la tolérance.
Comme quoi le réveil de ces références n’est pas si anodin qu'il n'y paraît.
L’argumentation des uns et des autres, sur tous les forums se fonde sur une expérience personnelle, professionnelle, réfléchie.
Lou Bayrou a su réveiller les consciences et du coup, ici, là bas ou ailleurs nous exprimons avec force, et parfois impatience, nos réponses ciselées au réalisme du terrain, réponses bien éloignées de l’état d’âme ou de l’opinion idéologique de certains(es), apportant cette humanité qui caractérise les "vrais gens".
Mais derrière tout cela, n’y a-t-il pas la nostalgie de ces époques passées qu’ont marqué ces hommes et ces idées pour ce qu'elles suscitaient, dans l’acceptation ou le refus :
L’expression d’une conscience collective ?
Nous voilà confrontés à la réalité d’un demain où, en prenant nos responsabilités, nous serons acteurs d’un humanisme pragmatique dont les piliers seront à nouveau l’Homme et la Terre.
L’Homme et la Terre... Elisée Reclus :
Les édiles d'une cité fussent-ils sans exception des hommes d'un goût parfait, chaque restauration ou reconstruction d'édifice se fît-elle d'une manière irréprochable, toutes nos villes n'en offriraient pas moins le pénible et fatal contraste du luxe et de la misère, conséquence nécessaire de l'inégalité, de l'hostilité qui séparent en deux le corps social.
Comme quoi,
il n’y a ni hasard,
ni ancien ni moderne,
seulement la vie, dans son éternel recommencement...
1 commentaire:
surfeur solitaire ? je croyais que c'était le surfeur d'argent ! non oui joker ?
trêve de plaisanteries, encore des reflexions ... fines et pertinantes.
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